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Bulle Vu Par Bulle

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23 juillet 2016

23 juillet 1998...

 Ce matin je remonte le temps...

OLA3

Nous somme le 23 juillet 1998, j’ai 19 ans … il est 1h du matin,  mon téléphone portable sonne,  un Ola bordeau de chez France Télécom , je l’ai depuis 6 mois et j’en suis pas peu fière.

- Je remonte le temps encore un peu.

Début juillet, un soir, à Paris, j’attendais patiemment de sortir avec des amis à la Loco, je me connecte sur le 3615 Fun Radio, (Le Minitel !!! Je suis si vieille que ça !!! Oh putain… c’était y’a 18 ans)  un certain Phildar vient me parler en privé, je ne me souviens plus vraiment,  mais je lui donne mon numéro…  Ma soirée se passe, mon weekend  aussi, retour sur Bourges …   

Je fête mon anniversaire, puis là Victoire de la France « et 1 et 2 et 3 ZÉRO » vient ensuite le feu d’artifice d’Asnières…. Et nous revoilà donc le 23 juillet  1h du mat :
-  « Allo, c’est Phildar… ! J’ai retrouvé sur mon bureau ton numéro, je me suis dis qu’il fallait que je t'appelle ! »

Je ne me souviens plus vraiment de cette conversation, qui a durée 3h, ce que je me souviens surtout c’est que cette histoire à durée 2 ans et demi !
Mon premier « vrai » copain, mon premier amour, avec qui j’ai vécu pendant 1 an à distante, on se parlait des heures au téléphone, ce qui a était source de conflits avec ces parents, les forfaits illimités n'existaient pas encore, nous avons fait fonctionner  la Poste 1 fois par semaine, avec des lettres longue et parfumé, on se voyait, que pendant les vacances scolaires, on comptait les jours avec des petites fleurs ou des petits coeurs sur un calendrier, « encore 25 dodos avant que l'on soit ensemble...» C’était l’année de son bac, ça rigolait pas. Il fantasmait sur ma tenue de Bloc ou je travaillais à l'époque, il m’appelait mon Bébé, je l’appelais mon Bouchon, c’était fusionnel, c’était mon meilleurs ami.
Et puis nous avons décidé de vivre ensemble à Amiens, les six premier mois ont étaient magique, puis la routine … (J'ai 20 ans c’est déjà la routine)  J’ai pris 20 kg, lui bossait moi pas, je me faisais chier, mes seuls activités étaient de faire à manger, le ménage, de jouer à la console (sacré Lara) et de regarder la télé…  J’étais "vieille " avec l’heure…   Un dimanche d'octobre 2000 après un épisode d’Urgences et un massage, il me dit « c’est fini »…  Trois jours plus tard j’étais de retour à Bourges ! Merci Maman, merci de cette réactivité.
Je ne suis plus amoureuse de lui, 1 an pour m'en remettre, mais encore maintenant je suis amoureuse de cette complicité et  je la (re)cherche depuis, étrangement j’y arrive assez bien avec mes amis, mais ça s’arrête là, il y a quand même une attirance, souvent réciproque, c’est tactile, c’est fusionnel un temps, un besoin d’être ensemble… on rigole on partage… et puis la vie reprend… 

J’ai remonté le temps pour une autre raison, ce 23 juillet pendant le coup de téléphone de 3 h, tranquillement installé dans mon lit, ma meilleur amie, que dit-je, ma moitié,  était entrain de souffrir sur un banc à ce demander quoi faire,  quelques heures plus tard, un bébé voyait le jour,… Aujourd’hui je vais aller fêter ses 18 ans, c’est plus vraiment l’époque des minitels, maintenant on joue à Pokémon Go dans la rue, on va sur Badoo pour rencontré l’amour (ah non mais je ne peux pas ça), on partage des trucs sur Facebook et on raconte notre vie sur un blog…

Bref 18 ans se sont écoulés, que j’ai apprécié grandement, j’ai changé de vie souvent, j’ai un super boulot, j’ai des amis fantastique, ma famille est formidable, j’ai eu des moments pas toujours rigolo, je pense à  ma « Sèche », qui a eu elle aussi un bébé en 98, mais qui ne sera pas là pour fêter  ses 18 ans.

Je ne sais pas trop ou je voulais en venir dans cet article. Je pense juste que l’année 1998, c’est l’année ou je suis devenue « Adulte ».  Je vais pas me mentir, j’écris ça pour penser à autre chose, se souvenir du passer aide à ne plus penser au présent, en tout cas chez moi ou alors à vouloir le revivre. 

Je vais arrêter là dans mes suppositions à 2 balles.

En ce 23 juillet 2016, je te souhaite un Bon Anniversaire et comme dirait Batlik :
« Profite profite tout va tellement vite...  »  Les chiens de prairie 

 

23 juillet 2016
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10 juillet 2016

Arrache moi les... (paule) la douleur jusqu'au bout de moi... *

 "S" mon ami, tu me déçois depuis hier, tes effets sont de moins en moins efficaces,  j'ai peur, j'angoisse, tu ne me remontes le morale que sur de courtes périodes, j'ai mal
Alors je me lâche, je vais parler d'elle que tu peines à soulager aujourd'hui.

***

Lundi 3 Septembre 2012, 15h30, c'est la première fois que je t'ai ressenti, une impossibilité de bouger, après un choc, un hurlement contre moi que j'ai compris bien trop tard. Il faut que je lui trouve un nom à cette douleur ?!  Comment je pourrais t'appeler, pour que j'arrive à te parler, à te contrôler ? 

***

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Les premiers mois j'ai voulu  t'effacer, en me bourrant de médicaments, acheter chez Jean Coutu (où on trouve de tout même un ami)les deux semaines au Québec, 15 jours après ton apparition, un laps de temps trop court pour me permettre de t'apprivoiser, je voulais juste profiter.
Et puis il y a eu le retour à la réalité, le boulot, les amis, la piqûre de rappel à chaque fois que tu es là (donc tout le temps) et de ce moment ou tu es apparu pour la première fois...

Et depuis 4 ans, tu joues avec mes nerfs, je te sens en permanence à des degrés différents et subtilement tu reviens avec une intensité incontrôlable, qui me ferais faire n'importe quoi pour que tu disparaisses, pour que tu n'existes plus juste un moment, comme m'arracher le bras.  Quelqu'un a une scie ?  
Le pire c'est que je sais quand tu vas revenir,  je t'entend même arriver avec tes gros sabots, comme un signal d'alarme : 
MAYDAY MAYDAY tous les feux clignotent en rouge....
C'est trop tard... Tu vas t'installer une semaine, quinze jours, un mois... et je vais essayer encore une fois de te parler tous les soirs et  tu vas me réveiller toutes les nuits. Pire qu'un môme. 

***

 - Un poids sur l'épaule... mais lequel ?  j'ai l'impression de m'enfoncer

C'est peut-être  dans la tête. Je me dis parfois, que tu n'existes pas, que mon état y joue beaucoup, c'est même sur, quand je vais bien, tu es moins présente. (juste moins, t'aime bien te planquer) 

Souvent je débloque,  tu me fais vraiment faire n'importe quoi, un peu comme en périodes de règles, non d'ovulation... Tu me rends triste, puis euphorique, mes réactions sont différentes, surtout il ne faut pas trop que je m'écoute, alors je sors, je bouge, je fais le ménage, je vois des gens, pour ne plus penser et de temps en temps je me soigne, je vais voir un Mr très charmant qui essaye tant bien que mal de te faire disparaître un instant, des fois ça fonctionne. 

Ou alors, je m'enferme, je me mets en boule sur mon canapé, le temps que ça passe, souvent la nuit, c'est plus angoissant la nuit, ça fait peur la nuit, tu es seul la nuit. 

***

Et aujourd'hui dimanche tu es là, depuis 4 jours, je savais que tu n'étais pas loin, je m'en doutais... Le seul moyen que j'ai trouvé, c'est de t'écrire, tu es présente dans ma vie depuis assez longtemps et aujourd'hui j'en ai marre,  je suis en colère et notre ami "S" ne m'aide pas beaucoup. 
Alors casse toi, pars, juste aujourd'hui, ou quelques jours,  je te jure, je vais prendre soin de toi maintenant, si tu t'éloignes un peu, je perds tous mes repères quand tu es là,  j'ai juste besoin de re-réfléchir, d'avoir de nouveaux un jugement objectif sur ce qui m'entoure. 

***

Vous allez vous dire, mais elle est folle, oui sûrement, mais ça me soulage...  un peu et de temps en temps je crie ! 

***

Allez on va finir cette article, avec cette chanson de Batlik parlant de ses calculs rénaux... "J'ai peur quand j'ai mal...."  
J'ai choisi la version live pas du tout par hasard, je l'a trouve encore plus approprié pour agrémenter cette article. 

* "Arrache moi les... la douleur jusqu'au bout de moi..." Louise Attaque  : Arrache moi - 1997

 10 Juillet 2016 

10 juillet 2016

Photoshop, l'histoire de la semaine

Je viens de lire un article sur Urbania, (une grande source d'inspiration pour moi) qui me parle, j'aurai pu l'écrire celui là. Le titre est aussi tellement bien trouvé... Photoshop l'histoire de la semaine... Un telechargement qui dure, que je recommence, qui ne marche pas et qui n'est toujours pas fini... Un peu comme cette (notre) histoire, c'est peut être clair dans sa tête, beaucoup moins dans la mienne. Faudrait arriver à dézipper tout ça.
Putain mais merde, engueule moi, bouscule moi, parle moi, secoue moi, ou alors embrasse moi comme tu as fais il y a deux mois.

***

Il a toutes les qualités, il est gentil, il prend des mes nouvelles, il se renseigne même sur ce médicament au nom étrange qui me dit de surtout pas reprendre ! (Point de vue objectif d'une fille amoureuse) Il me souhaite mon anniversaire en plein milieu d'une conversation via Facebook ou il me parlait depuis plus d'une heure de ça rage de dent... que son dentiste (le même que le mien) ne voulait/pouvait pas le prendre en urgences  : 

9h22 :  "et bon anniv' au fait hein"  

Eu merci beaucoup pour cette jolie phrase, qui à l'air de t'écorcher la bouge, à non les doigts, mais là tu vois je suis gentille avec toi, limite je te plains, intérieurement j'ai envie de te serrer très fort dans mes bras depuis 1 heure pour plus que tu ais mal mais en même temps j'assiste depuis 40 minutes à une crise d'épilepsie de mon chien de 18 ans, pendant mon petit déj d'anniversaire  chez ma mère , un grand moment de solitude, de peur, de tremblement, d'angoisse (non pas aujourd'hui kiki, ne meurt pas aujourd'hui, pas le 7 juillet ... ) et le seul truc qui me fais tenir c'est cette putain de conversation avec toi.  

 "tout ça à cause d’un méga-brouillard hormonal qui me bloque la vue et m’englue le cœur"
toujours l'article de référence qui m'a ôté les mots... du clavier

 

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Ça ne peut être que ça, je ne vois aucune autre solution rationnelle à cette histoire, je suis logique normalement, je peux même être dur, pas rancunière pour un sous, mais dur, stricte en amitié, en amour je suis une guimauve toute molle, qui fond au soleil... je n'ai aucune volonté, aucun recul. Je prend sur moi et op j'explose d'un coup, pour regretter 3 secondes plus tard... Mais merde un apèro d'anniversaire dans un bar, c'est pas 17h15 en plein cagnard, je viens de dire que j'était une guimauve qui fond au soleil et non on part pas à 18h en ce plaignant de la chaleur après deux verres de vins blanc !!! Bon ok il avait prévenu il y a deux jours qu'il ne resterait pas,  cause rage de dent, je le savais, j'aurai du plus me préparer, je n'aurai peut être pas réagi comme ça et pourtant il l'a redit en arrivant à 17h15, comme si il voulait me préparer phycologiquement à son départ, j'ai compris le message, pas la peine d'en rajouter mais ça à était plus fort que moi, quand il m'a dit à demain, j'ai dis très sèchement "peut-être" il est sorti tout seul, la déception, la colère , la tristesse du moment ont eu raison de moi. (la douleur que j'ai dans l'épaule depuis 2 jours aussi / enfin plutôt 4 ans

 ***

"Tu vas lui trouver des excuses encore"  Ben oué forcement, mais c'est pas des excuses, je le comprend, il est comme moi enfaîte et comme les gens que j'aime, il ne sait pas s'exprimer normalement, devant des sentiments amoureux ou non, il ne sait pas comment réagir face à ça, il lui faut du temps de la réflection. Et quand ses jambes bougent toutes seules, en même temps que ces doigts qui tapent sur la table, (j'ai souvent mis ma main sur sa cuisse pour arrêter ça...) je le vois bien qui sait pas ou se foutre, qu'il a qu'une seul envie c'est partir en courant, qu'il sait pas quoi faire de sa piau, qu'il hésite, un truc intérieur qui lui dit : Mais reste, ça peut être une bonne soirée, oui mais mon canapé m'attends et j'aimerai bien m'y étaler .  (Une phrase que j'ai entendu très souvent dans ma tête ces dernières années)  

***

Ce soir je suis allée au resto, en terrasse à deux pas de chez moi, pour me retrouver à manger avec sa voiture en ligne de mire, tout en avalant mes tagliatelles aux deux saumons, je regardais cette voiture, en me disant, ma pauvre fille, t'es amoureuse, chose qui ne t'ai pas arriver depuis plus de 10 ans (pardon pour ceux qui m'ont croisé durant cette période) et je ne sais pas comment tu vas te sortir de là. 

Bon courage : "Ça ira tu verras"

 

***

"...je souffle et souffre me détruit, sous mon regard de simple ahuri, je passerais bien du temps avec lui"

dans la nuit du 9 juillet 2016 
29 juin 2016

Le miaule plus, je rugis

AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH 

Vu qu'il faut que je me contrôle un minium en public, je trouve dans ce blog un moyen d'évacuer  parfait. Il est 5h15, je vais sûrement finir cette article avant d'aller bosser mais vous aurez l'honneur de le lire qu'en fin de journée, relecture, relecture... relecture ! 

***

Hier un mardi ordinaire, encore légèrement en colère, mes collègues ou le boulot  n'aidant pas à la redescente, je me retourne comme d'habitude depuis quelque temps le midi sur ma "terrasse" vous savez mon bar, mon chez moi, ma maison... Et op forcement je croise le Chat, qui tranquillement ce gare et je me retrouve juste derrière lui... à attendre....  Bref, on est mardi, il rentre chez lui, je peux me détendre pendant 1h avant son tradition elle café allongé de 13h30... 
Et bien raté Bulle, le temps que tu te gares, il est là ... Avec son coca, accoudé au bar... et toi tu vas manger ta quiche, a côté de lui...  - t'es la reine, t'es la reine t'es la reine des Quiches -  je trouve ce moment dans le ton...  
Ayant une capacité à ne rien faire paraître, une discussions s'improvise sur mon état d'énervement, LE BOULOT...   

L'après midi est passé assez vite, j'ai bossé, bossé, mais vraiment bossé... j'avais qu'une envie c'est de tout balancer, mais contrôle, encore 3 jours... Je prend beaucoup sur moi en ce moment... 

Allez 17h30 retour "chez moi" 18h15, retour du Chat et surtout retour du sourire niait sur mon visage... TAIN Bulle aucune volonté,  merde contrôle toi....  Et bla bla bla, bla bla bla, limite il se frotte à moi... oui ok je fais pareil, mais zut quoi, moi je craque, lui il est sensé être distant, "tu seras jamais ma MEUF"... (on a 15 ans) .

Quatre verres de blanc plus tard  - ben alors on est mardi tu bois beaucoup - il est  pas loin de 21h  - ben alors il est tard, on est mardi -  tu débloques mon Chat ?  Bref, j'ai vu ton hésitation sur la proposition de resto avec les filles...  A ton départ je  me suis laissée tenter... t'aurai sûrement passé une bonne soirée, mais vu que tu n'arrives pas à profiter des petits moments, que tu préfères ton canapé, que tu oses pas te détendre (je connais, j'étais comme ça...) et bien voilà tu as loupé une bonne soirée avec 3 filles et un gars... 

***

Morale de l'histoire, je suis toujours dans un état proche de l'explosion, ma colère c'est calmé, je suis moins dans l'attente de quoi que ce soit, même si secrètement j'èspere bien plus... Je rugis 
Courage mon Chat, c'est pas fini ! 

 

29 juin 2016

28 juin 2016

Comment s'en prendre plein la gueule et ne rien comprendre

- Colère, déception, tristesse : 

Où j'ai vraiment un sérieux problème où je ne comprend plus rien. 

A une époque pas si lointaine, j'arrivais à communiquer avec les gens, dans le cas contraire, une petite Gribouille, ou un article et op  j'étais plus alaise et j'arrivais à débuter une discutions... Mais si tu as un mur devant toi, ça deviens plus compliquer et pour débloquer une situation que  je trouve franchement ridicule là  je ne sais plus comment m'y prendre.

***

Techniques :

1 - Je laisse faire, je vois bien qu'il n'est pas alaise, j'envoie des "signes", je veux surtout pas le brusquer, il va bien me dire un truc : ÇA NE MARCHE PAS 

2 - Je ne lui laisse pas le choix après une BONNE soirée, prise de la veste discrètement, op de nouveau sur le fauteuil, non non tu vas pas partir comme ça, une petite discutions s'impose  : ÇA NE MARCHE PAS... enfin presque, 10 minutes de conversation,  que j'ai provoqué... whaou exploit... je tiens le bon bout peut être. en tout cas j'ai mis les deux pieds dedans, mais vu le résultat...  Ok on couche plus alors ? (snif)  Et je devinais ça comment moi ?? si  - TU DIS RIEN -  Rhoooo mais je comprend rien ... 

Je ne sais vraiment plus (expression toute faite : )  sur quel pied danser, les signes oui eux ils me disaient qu'il était mignon, gentils, que je pouvais avoir confiance, que franchement j'étais sur le point de m'en faire SUPER POTE,  un confident, que c'était une bonne personne, j'y croyais vraiment, j'ai perdu mon sixième sens BORDEL !! Merde mais quelle idiote. J'ai pas pu me tromper à ce point là.  Rhoooo mais je comprend rien ... 

J'aurai tellement eu envie d'en rigoler avec lui, de partager ma chute de son lit, du chat (qui miaule) qui c'est foutu de moi, de ma coupure après ma vaisselle de vendredi soir, (je vais vous raconter) qu'il soit mon ami simplement...   C'EST NUL,  j'ai peur, je suis déçue, je suis en colère (peut être plus contre moi), je me sens bête,  je suis triste... vraiment triste.

- Comment déstabiliser Bulle en 10 leçons 

***

Bref, je vous raconte ma blessure de guerre : 

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Après le départ du chat (c'est encore le chat, parce que il me fait craquer ce con) je pleure au téléphone avec l'homme brun, (dur dur dur) et je décide de faire la vaisselle, aucune envie de la voir le lendemain matin, ça m'aurai vraiment déprimé...  et je le suis pas, NON NON NON je veux pas finir en boule sur mon canapé....  
Allez je m'y met, une assiette, deux assiettes, trois assiettes, attention les verres à vins (merci Laurette)  phase délicate, et de un, et de deux..... BAM explosion au sol, je suis pied nue, je bouge plus...  et là le sang....
coule de ma jambe, aie aie aie... Opération, pince à épiler... pansement compressif, bétadine... et on recommence, j'en fou partout, il est 2h30 du mat... je pleure,  j'en ai ras le cul d'être aussi CON... et je rigole, tain j'ai qu'une envie c'est d'appeller le chat à l'aide, Ah oui mais  non on peut pas ce raconter nos problèmes (colère quand tu nous tient). 

Bon... je vais me coucher... réveil deux heures plus tard en sueur, la raclette à eu raison de moi, j'ai mal à la jambe....

Et je fini en boule sur mon canapé, avec des cafés et des clopes.. jusqu'à 11h...  et je suis allée bosser.  

***

-  AU BOULOT Bulle,... la journée va être longue, compliqué, tu va être en colère, mais ça devrait passer...  et rappel toi, tu as une capacité à faire comme si de rien n'était... COMME LUI ! Prends sur toi, ravale ta fierté... t'inquiète un jour ça va péter ! 

 

28 juin 2016

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22 juin 2016

Pathétique mais heureuse

Eu, je ne sais pas part ou commencer cette article très gênant... La honte, mais c'est encore pire, mais que m'arrive t'il ? 

Après une journée, chiante et quelques problèmes perso venant ce rajouter,  vous connaissez c'est l'histoire de la goûte d'eau ? Pour moi c'est arrivé mardi.
J'avais plusieurs choix, rentrer chez moi me morfondre et  pleurer un bon coup, ou me soûler pour oublier... Oui j'aime bien le dernier choix,  une solution facile, qui m'arrive  pratiquement jamais, mon humeur festiv du moment fait que j'ai trouvé ça très intelligent. Vu mon humeur, j'aurai pu avoir l'acool triste.

J'ai le souvenir d'une soirée mémorable du 6 février 2010...  SIX ANS !!!  "Soirée A Rhum A Tisé" ... Oh mais c'était le bon vieux de temps, j'avais les hormones en folie à  l'époque aussi ...  Rhaaaa OUI j'en ai besoin, c'est moi ça, je suis comme ça, un peu folle, festiv quand il faut, j'en ai marre d'être triste, depuis 4 ans... A me morfondre seule sur mon canapé à  attendre quelque chose qui ne viendra de toute façon pas si j'y reste collé... A pleurer angoisser pour les uns et les autres... répondre aux appels de 6h du mat pour venir sauver les amis dans le besoin... Merde qui je peux appeler ? 
En l'espace d'un mois,  deux personnes, qui ne se connaisse pas, mon parler de mon côté Saint Bernard, il y a de quoi ce poser des questions... ou pas .

***

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Bref revenons à nos montons, ma soirée du 21 juin 2016...  La journée avait  mal commencer, j'étais triste, pas bien, pensive, anxieuse, bref c'était la loose. 
Le soir venu, fête de la musique oblige, je me dis que j'irai bien faire un tour "en ville"... Passage obligé dans mon bar tabac, vers 17h30... je ne sais pas ou me foutre, ça va pas.... Coup de téléphone à l'homme brun, qui dure facilement une demi heure, puis là c'est le déclic, UN PUNCH, DEUX PUNCH, TROIS PUNCH ils est 19h30 (oups) Après un autre appel à un autre homme plutôt blond celui là...  de 45 minutes et des révélations qui l'on surpris, je commence à être vraiment en forme !! Joyeuse, je dois parler un peu fort, j'ai chaud, très très chaud..... QUATRE PUNCH, CINQ PUNCH, 21h  : "Yep, Bien ?"  OHHH  Mon chat, il manquait plus que lui pour m'aider a avoir moins chaud, c'est exactement ce qui me fallait....   SIX PUNCH, SEPT PUNCH, HUIT PUNCH, NEUF PUNCH... Du WHISKY * 23h Le chat arrive, je ne suis plus en capacité d'avoir une discutions normal là, bon ben je vais continuer a faire rire les gens,  c'est le mieux que je puisse faire....  23h40 : VERRE D'EAU ....  et là c'est le drame ! 

Beurk ... Beurk ... Beu.........rkkkkkk (Ouf une ruelle pas loin..... ) 
Le chat qui était sur le point de partir a sorti un petit "oups".... puis quelques minutes plus tard (là j'ai un trou de mémoire au niveau du timing) j'ai entendu un ... "Bon je rentre, va te reposer Bulle, tu en as besoin" tout en me caressant l'épaule.  ahhhhhhhhhhhhhh NON .... 
J'ai eu un grand moment de solitude, j'ai évité son regard, j'avais honte, je me suis trouvé pathétique, c'était la loose ! 

Mon corps c'est dit, il faut le suivre, vas y fonce ma poule, mais ouf, merci petit cerveau qui a eu comme un éclair de lucidité, après avoir parcouru 100m, j'ai fais demie tour.... et je suis rentrée m'étaler sur mon canapé. 

*** 

Y'a t'il une morale à cette histoire ? 

 

* j'aime pas le Whisky

22 juin 2016

20 juin 2016

La chute

Après une soirée suivi d'une discutions sous l’emprise d’alcool (version 2) vendredi soir, j'ai craqué...  
Aucune volonté ! Ou alors c'est lui qui n'en a pas... Oui oui c'est lui !  Zéro volonté "mon chat".
Ah oui je vous ai pas dit, nouveau nom de code de l'***obsession : le chat du coup je miaule, je ronronne.... et je tombe ! Aucun raport mais maintenaut il faut lire là suite.... 

***

Tranche de vie - La honte (?) :

Vendredi après notre discussion et bip bip bip,  quatre heures du mat, j'étais au lit bien tranquillement, réveil brutal après un rêve classé X,  j'ai chaud j’ai soif, très très soif.
Une flemme me gagne d'un coup mais pas le choix... Ah oui mais je ne suis pas chez moi, il fait nuit,  je suis bloquée entre une armoire à ma droite un mur en face de moi  "le chat" à gauche et je trouve, vu ou je suis placée, que la porte est  inatteignable...

ANALYSE de la situation... dans ma tête ça donne ça: je me laisse glisser au pied du lit tout en délicatesse, je passe mes jambes au dessus des pieds du "chat" en essayant de ne pas le réveiller et la porte sera juste devant moi, normalement ça devrait bien ce passer.

Aller je tente... Mais la délicatesse n’est vraiment pas mon fort… tssss
Première étape: - Glisser, jusque là ça aurait pu être pire, enfin je pense, pour la suite je m'embrouille, mais qu'elle conne, ce n’est pas ce qui était prévu.

Dos au lit ma jambe  gauche enjambe le « chat », la jambe droite toujours dans le lit... et la c'est le drame :
Glissade de la jambe gauche.... Et c'est la CHUTE 

Me voilà donc assise par terre au pied du lit, la cuisse droite en feu, la porte inaccessible en face de moi qui me nargue et à ma gauche la chatte (un vrai chat qui miaule vraiment) couchée sur le dossier du fauteuil qui me fait un petit "Mia", manifestement je l'ai dérangé ou elle se fou de moi... à ce moment précis elle aurait raison… !
Piouffff à part rigoler, je n’ai pas su quoi faire d’autre.

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Bon maintenant faut faire style de rien, il n’a rien entendu, il dort,  peut être, surtout je ne me retourne pas, j'ai quand même une pensé pour les voisins de dessous.... Quand j'y repense, ça a fait un sacré bruit ... BAM ... 

Vite direction la PORTE !!!   Après avoir bu facilement un demi litre d'eau, assise sur le canapé la musique de la veille en train de tourner sur l’écran de la télé, une clope à la main je me remémore la scène…
Voilà voilà !  Que dire de plus,  je suis allée me recoucher. J’ai bien mis une heure à me rendormir, j'avais mal, mais j'étais bien... J’étais avec "mon chat".

***

Je vais finir par le faire flipper avec ce genre d'article et de surnom ridicule! (- NON ne fuis pas, je ne suis pas folle...)   Mais faut bien que je me lâche, en ca présence je ne suis pas au taquet comme ça... il me rend timide... 
Mais zut j'ai bien le droit de trouver du plaisir dans des situations cocasses et dans un surnom ridicule mais mignon. 

J'ai jamais vécu ça, je ne parle pas de la chute, je parle du "chat", j'ai envie d'apprécier tout ces moments, de prendre tout ce que je peux, je ne sais pas où tout ça va nous mener, la chute sera peut être plus brutale que vendredi, je flippe, j’ai des petits coups de blues par moment, j'angoisse un peu... mais c'est tellement bon...  

20 juin 2016

12 juin 2016

***Obstination

Nous avons décidé avec l'homme brun d'entamer la phase de sevrage, fin juillet, je suis encore dans l'***obsession, voir même maintenant l'***obstination !
Je n'arrive pas à redescendre, quand je disais - J'ai 15 ans - c'est encore pire, des premiers émois ne sont pas comparables, je m'en souviens comme si c'était hier, là c'est encore autre chose...
Je ne pleure pas,  je ne suis pas anxieuse, il m'appaise quand je le vois, j'ai envie de lui c'est viscéral, tout mon corps me le dit, je me contrôle encore en sa présence mais jusqu'à quand ? Il me rend folle, je suis devenue bordélique, j'en glande pas une et le pire c'est que je m'en fou !   

De toute façon, le mois qui vient de s'écouler ne m'a pas aider pour entamer ce sevrage et j'ai bien peur de ne pas en avoir envie, mais merde !! NON JE VEUX PAS ! c'est bon ces moments. Espérer ça fait pas de mal ! 

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Je me rassure en regardant les signes (encore eux) j'en voient partout... ET ALORS !!!  OH Bulle tu déconnes, tu te fais des films, il a était clair pourtant, depuis le temps il aurait fait un pas... pense à toi, tu sombres là, tu sais les mecs?!...
OH c'est quoi ces phrases toute faite !! 

- VOS GUEULES !!! 

Il me rend belle ; je me sens belle, je me sens désirée... c'est le printemps dans ma tête. 
J'ai récidivé avec  le mot sur le par brise, j'envoie des "signes" par facebook , soit il ne comprend rien, mais en tout cas il fait comme si de rien était en même temps je fais pareil, je sais qu'il sait que je sais et il sait (pardon pour cette phrase, je n'ai pas trouvé mieux) et tout est normale, on ne dit rien, il me fait mariner ?!(si c'est le cas, il est doué... Clap clap clap)
Mais arrête de te frôler, de me parler dans l'oreille, de me toucher le bras.... mais euhhhh arrête, arrête !!!! T'imagine même pas, comment mon corps se manifeste...
Non, ENCORE, continue ENCORE, Embrasse moi, ENCORE....  ENCOREEEEEEEEEEEEE 

AHHHHHHHHHH, rien que d'y penser...  une douche froide pourrait peut être m'aider ! 

Allez ... 

Je ferme les yeux, je veux que ça dure... J'y crois, encore ! 

Alors j'écoute la Playlist Qui (me) Rassure

 

12 juin 2016

 

12 juin 2016

La Playlist* Qui (me) Rassure

A écouter à fond ! 

*Playlist  subjective, les titres sont susceptibles de changer sans avis préalable
Pour le moment elle me rassure, elle me donne chaud, (je vais exploser) elle me donne des ailes, elle m'aide, elle me fait espèrer...  : 
Attention expression toute faite : 
L'espoir fait vivre ! 

12 juin 2016 

 

9 juin 2016

Sérieux !?

Soyons sérieux 5 minutes, j'avais un peu zappé ce blog ces dernières années, pourtant j'adore écrire,  il me faut  pourtant une concentration assez extreme pour que j'évite de faire des fautes, une relecture approfondi,  voir plusieurs, j'écris un peu comme je parle vous l'avez sans doute remarqué, en tout cas j'aime ça, bon exercice, ça me défoule, avec des trucs anodins, des histoires banals, des tranches de vie.  

A une époque lointaine, j'écrivais en faisant des résumés de concert, (vous vous rappelez), je parlais un peu moins de moi, d'où  (le titre de ) ce Blog, parler des autres c'est chouette, parler de soit, c'est pas mal non plus. 

humour-blog

Bref je disais donc que j'avais zappé ce blog, pourquoi, la faute à Facebbok, tout est éphémère, attention je ne dis pas que je n'aime pas facebook,  je suis la première à y aller, je pense qu'après le pipi du matin puis une tasse de café dans la main, c'est un le premier truc que je fais au réveil, je dis juste que tout  va plus vite, que plus le statut est court, mieux c'est...
Donc forcement, moi avec mes articles ou il faut cliquer sur un lien, puis lire un texte, qui ne parle pas d'actualitée, pendant 5 minutes, je n'étais plus vraiment dans le coup, j'ai d'ailleurs un stock de texte pas publié assez incroyable. 

J'ai donc fini par mettre juste des photos, mes gribouilles,  au début en partageant le lien vers le blog, puis finalement c'est plus simple de mettre direct la photo dans mon fil d'actualité, pourquoi s'emmerder. C'est court, c'est visuel, c'est ce qu'aime Facebook, c'est ce qui marche sur Facebook.
Écriture de quelques articles, quand même, plus intime, que je n'avais pas vraiment envie de partager à tous "mes amis"  sont restés en sommeil pour quelques fidèles lecteur. Et puis raconter ma vie, qui ça peut bien intéresser. 

(Vous me suivez toujours ? )

Bon, il y a peut être aussi que je n'avais plus grand chose à dire, ces 3 / 4 dernières années.
Attention minute déprime  - Je n'allais pas bien j'étais triste, souvent, angoissée, je me morfondais, j'avais plus de période de chômage que de période de travail, je savais pas ce que j'allais bien pouvoir faire de ma vie, bref c'était la loose  - Fin de la minutes déprime

Et là, Révelation, tout le monde s'en fout,  donc j'écris, merde  frustration sinon, j'ai plein de trucs à dire et même si personne me lit, ou comprend où je veux en venir, moi j'aime ça, c'est un peu un journal intime, pas trop intime,(Euhhh...!!?? Je m'enbrouille ) et puis de toute façon, les personnes qui vont me lire, seront  mes AMIS proche, peut etre aussi des internautes lamada (c'est pas péjoratif), les connaissances y'en aura peu...

- Bulle, faut que tu te trouves un hobbi - Ah mais oui, j'en avais pas mal avant... 
Allez je m'y remet, je partage et peut être j'aurais d'autres fidèles lecteurs. 

 

9 juin 2016

8 juin 2016

Le jour où j'ai failli mourir, deux fois

Bon certe, ce titre est  vraiment exagéré, mais pour ma défense, j'ai pas fais ma fière tout à l'heure, alors je m'autorise ce terme. 

***

Cette journée s'annonçait parfaite, réveil un peu brutal à 3h40, pour un jour de repos ça pique, mais bon  je me formalise plus pour ça depuis longtemps, ça ne m'empêche pas de vivre.
Café ++, jusqu'au réveil des petits oiseaux, ménage, douche, courses... Re café et blabla avec une amie que j'ai sorti du lit à 11h (oups). Je suis motivée et toujours autant pour mon rendez vous de 13h45 avec la "cousine" et un petit repas bien mérité, dans ma tête et mon corps il est pas loin de 18h, APERO !?
Bla bla bla... l'***obsession° vient sur le tapis. Mes yeux brillent, tout va bien. 

Allez direction chez maman, pour le petit café du mercredi,  je vais peut être boire un verre d'eau. j'ai ma dose de caféine pour la journée.
Après être resté une petite heure en extase devant la nouvelle terrasse et la (nouvelle et belle) table qui trône dessus, me vl'a partie, une pause s'impose sur mon canapé. 

C'était sans compter ces chauffards de mer***, bord**, sérieusement faut apprendre à conduire!  Je m'égare, je suis pas comme ça normalement. 

*** 

Attention, réaction en chaîne, c'est là que la VRAI histoire débute : 
Tranquillement à 30 km/h pas grand monde à l'horizon, une priorité à droite s'annonçant et surtout une voiture arrivant, j'analyse la situation : un coup d'oeil vite fait dans mon rétro intérieur, voiture en approche, mais y'a de la marge, je rétrograde tranquillement, puis freine légèrement, normalement ça passe sans l'arrêt complet.
BAM ! Eu je m'y attendais pas à celle là !  Que ce passe t'il,  je descend, très zen, détendue, j'ai rien compris !?  - Pardon j'étais ailleurs - Ok passons.
Rien à signaler sur ma titine :  Bulle  0 / chauffard n°1 : plaque arraché 

Je reprend donc la route, 15 bonnes minutes plus tard,  je n'ai fais que  500m depuis mon départ de chez ma mère. 
Attention, rond point, je répète rond point  : Je suis au taquée, concentration extrême 
Droite,  PERSONNE, gauche PERSONNE... je m'engage pour prendre la deuxième sortie (tout droit). 
Et d'un coup à ma droite : - Euuu NON mais tu vas t'arrêter ?  Ah non tu t'arrêtes pas !  -  Pauvre petit merdeux, blaireau, conn***, avec ta Golf* de branleur, mais tu sors d'où comme ça?! - 

Je t'evite, je n'ai pas encore compris comment... Tu disparais de mon champ de vision (d'ailleurs je ne t'ai jamais revu) ... oui mais juste là dans mon angle mort, côté passager, une voiture venant d'en face, de la  sortie même que je voulais prendre : 
Attention, contrôle du véhicule, faut que je l'évite aussi, je suis allée trop loin à cause de l'autre !@%*¤$&#. 
Me voilà donc entre une voiture qui arrive sur moi et  la bordure du rond point que je vois de plus en plus s'approcher, je me retrouve à contre sens, dans le rond point, (par quel miracle , j'analyserai ça plus tard) je me laisse glisser.... touche plus à rien... immobilisation du véhicule. 
Rien de cassé... - Vous allez bien M'elle ? - Oui, tout va bien.... parfaitement bien ! 
FIN DE L'HISTOIRE ! 

Enfin presque... je n'avais fais que 800m... je suis pas rendue chez moi! Moi j'vous l'dit. 

***

Sans titre 2


Vous sentez de l'humour dans ce billet ? Oui mais quand même, d'un coup d'un seul, en me relisant, et en racontant cette histoire,  j'ai réalisé que NON je n'ai pas failli mourir, mais que quand même j'aurai pu avoir mal. 

J'ai surtout eu peur, très peur... Là je suis limite angoissée...
Bouh bouh bouh... ça ira mieux demain !  
(- Voir le bon côté des choses - Version 2 en 10 jours) 

 

Je n'y vois aucun signe, malgré que : voir photo **
Mais peut être que mon état d'apaisement général y a joué!  

C'était ma journée de repos. 

*** 


* J'aime pas les Golf  !! GRRRR, j'ai jamais aimé les Golf 
** Photo : Val d'Auron - Bourges - juin 2016 - dédicace à l'homme brun et merci à la "cousine" 

 

8 juin 2016 

 

1 juin 2016

Lettre ouverte...: L' ***obsession

Un ami m’a dit hier (l'homme brun...), que je souffrais d’un syndrome bien connu sous le nom d’***obsession*
Une maladie reconnue, inguérissable pour le moment… 

Après analyse de moi-même,  les symptômes  sont : la bonne humeur, des montées d’hormones incontrôlables, une perte d’appétit, un teint rouge et des sourires niais en présence de l’être aimé.
Seul  remède, la patience…  (C'est l'homme brun qui dit ça : "Il faut  s'armer de patience" ... J'ai peur ! )

Rendez-vous pris dans 4 semaines, avec l'homme brun, (encore lui) pour faire le point, après la patience, il faudra peut être envisager un sevrage intense. Rien que d'y penser j’ai envie de vomir !

En attendant, je rame… vu le temps ce n’est pas trop compliqué !

***

Bon, vous l’aurez compris, je suis AMOUREUSE !  

 

Marina Gri-Bouille

De lui, oui toi, ne te cache pas derrière ce sourire, qui me rend complètement folle…  T’es charmant, drôle, émouvant, passionnant, stressé, je t’ai rencontré un jour de juin, je t’ai trouvé beau, tu m’as parlé, souri, j’ai vu un truc chez toi que je qualifierais de magique et surtout inexplicable.  La naissance d’une amitié, ou c’est autre chose, ça m’est tombée dessus sans vraiment m’y attendre, j’avais un peu oublié ce que l’on pouvait ressentir dans ces cas là …

Durant toute l’année qui vient de s’écouler, j’aimais te croiser dans le bar ou l’on c’est rencontré, la peur au ventre, envie juste de te voir, te parler, te sourire. Deux trois apéro chez moi organisés histoire de te connaître, de confirmer cette attirance, je me trompe peut être mais je vois dans tes yeux, que peut être je dis  bien peut être il se passe un truc !

Je parlais de toi à mes copains (les copines viendront après), mais dans des thermes indéfinissables,  cela faisait bien longtemps que je ne n’avais pas parlé de mes sentiments amoureux avec mes amis, rien de bien passionnant ces dernières années…  Histoires de cul, romances qui n’en étaient pas, rencontre sans lendemain, je n’avais rien à dire, j’avais un peu mis de côté cette parti de ma vie. 

A l’aube de mes 37 ans, j’ai envie d’autre chose, le célibat, c’est bon, j’ai eu ma dose, 7 ans de vie seul, quelque chose que j’ai  voulu, j’ai vu, j’en veux plus ! Mais pas avec n’importe qui… pas n’importe comment…  Ah j'entends d'ici, des murmures: "- C'est la crise de la quarantaine." Oui est alors !? 

On est en mai, 1 an c’est  écoulé et tu me « cherches », on commence à se rapprocher, vu dans l’état ou je suis, il m’en faut peu tu sais ! Des signes j’en vois partout, (L’homme brun,  lui il en voit au lac d’Auron… Merci pour ce moment de franche rigolade)  j’invente peut être… Pas tant que ça, cette nuit là, sur mon canapé, dans mon lit, je l’ai pas inventé… Tu m’as embrassé, tu m’as aussi dit, « je ne sais pas ce que je vais pouvoir t’apporter » « on va faire une connerie » …..  Je te jure que là à 5h du mat bourrée, je M’EN FOU, 14h30 « On reste ami »

AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Voilà le retour de l’histoire sans lendemain, le plan cul qui ne mène à rien…  humiliation extrême, oui mais toi je t’aime, depuis un an secrètement, rappelle toi le mot sur ton par brise, cet hiver, qui te souhaite une bonne journée avec un petit simley ridicule, c’était moi, c’était mignon :
Hou la menteuse .... La la la  « Elle est amoureuse… ». La la la.   Ah mes amis, ils sont FORMIDABLES !

- Et depuis 15 jours, je rumine, je rame, je parle de toi à mes copines (les voilà…. Quand je veux je suis discrète, mais là j’en peu PLUS : j’ai 15 ans) je me pose des questions existentielles, sur moi, sur toi, sur NOUS…  A  non il n’y a pas de nous… (Pas encore) Mais non, je n’ai pas pu me tromper à ce point là,  je n’ai pas rêvé, tu te fou de moi, tu as juste peur de l’engagement, tu me fais une blague… 

- Et depuis, tu es encore plus beau, je t’ai trouvé doux, je me suis pas posée de questions, j’étais alaise, émue,  c’était facile, c’était BON !

***

Pause, une relecture s'impose 
Vais-je envoyer ce texte au principale intéressé, ou le publier comme un article, un texte, parmi tant autre, une peur m’envahit d’un coup, vais-je passer pour l’hystérique de service, qu’en peu plus de la vie, qui veut se caser mais c'est pas ça, c'est tout le contraire. Je veux pas le faire fuir, c'est un risque ce texte non ? Je ne dois pas être « à la mode », mais merde, c’est beau ce que je dis,  je suis sur que toi oui toi qui me lis, tu as ressentis ça au moins une fois… que tu te reconnais dans ce que je raconte, que du coup tu pourrais écrire un texte sans t’arrêter, en pensant à lui… ou a elle…   Quand le sujet est bon,  c’est facile …
Fin de la pause   

***

« Quand ce n’est pas compliqué, ça ne vaut pas le coup. » ok merci l’ami d’une amie que je ne connais pas encore mais je suis rassurée d’un coup !

Tout ça pour te dire, merci, j’aime ton univers, ta culture, tes passions, nos discutions au coin d’un bar, ou des fois on refait le monde, j’ai enfin trouvé quelqu’un qui me donne envie d’aller plus loin, ce n’est peut être pas réciproque ça ne le sera peut être jamais, mais j’aime ces symptômes,  qui me font avancer, qui me  donnent  des ailes, qui m’ont permis de me rendre compte que je pouvais aimer autrement et avec lesquelles je ne me suis jamais posé la question  « pourquoi il ne veut pas de moi ? »….  j’ai pas mal, je suis bien, j’en envie de rêver.

N’ai pas peur, ou juste un peu, comme moi !  On sait pas, on verra…

« Nous sommes de bonnes personnes »

Je t’aime.

***

*** *Ce Syndrome peut se décliner avec pas mal de prénom finissant par le son « O » en collant le prénom et "bsession" ça fonctionne...  
Flo, Renaud, Théo, Léo, Nico, Thibault, Bruno, Hugo, Livio…  A vous de choisir !

***

Illustration : Marina Gri-Bouille à voir sur Facebook 

 

 1er juin 2016

1 juin 2016

Gribouille #22

#22 01062016-brouillon-

Gribouille #22
Dessin Bulle ©

"Brouillon"

1 juin 2016

J'ai perdu ma bague

- Dans la rubrique tout le monde s'en fout... Sauf vous !  

bague-triskell-acier-taille-70

30 mai 2016, perdu bague, vu pour la dernière fois à mon doigts, à 10h47... et puis plus rien ! 

Je l'avais depuis  8 ans, toute une histoire cette bague,  c'est le marin breton qui me l'avais offerte, j'y étais attachée, (au marin et à la bague), elle s'imbolisait ma nouvelle vie, ma vrai entrée dans le monde des adultes, mon côté fan, le drapeau dans la foule, un concert complet, mon premier pass VIP, mon anniversaire sur le toit d'un camion sur une plage à St Malo...  c'est cool d'être adulte ! Quand mon chum c'était un marin, pourtant je ramais pas en c'temps là ... 

Étrangement je ne suis pas triste, même presque heureuse ... Je me sens  juste nue du doigt ... Une page qui se tourne, c'est un signe moi j'vous l'dit !  

 

1er juin 2016

24 mai 2016

Je suis encore là...

Ceci n'est pas du rhum - mais ça y resemble un peu - En ce 24 mai 2016, je tenais à poster cette photo, prise il y a 21 jours...

A la tienne Caro  ! 

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 Grandcamp-Maisy - 3 mai 2016

 Edité le 24 mai 2016

23 mai 2016

Chez Laurette... *

"C'était bien, c'était chouette... " J'étais ça pépette.... 

Vendredi 20 mai 2016, c'est  fini... 

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Mon QG ferme ces portes, ma béquille, mon chez moi ou je voyais ma "famille" que je me suis crée,  l'endroit ou je me réfugiais, en cas de gros coup de bleus mais aussi pour LE gros coup de coeur, c'est là que j'allais pour tout raconter, pour pleurer, pour rire, pour discuter, quand j'étais triste, angoissée, heureuse, mon univers depuis 4 ans et même avant différemment, quand c'était "l'tabac de mon quartier"...  

Mon allongé m'attendait, ma cerise ou mon bébé, on parlait berrichon au comptoir, les blagues de cul du matin,  les histoires droles de Seb, les arcandiers de 19h, le "timide" banquier, les ragots et mon coup de coeur arrivait souvent vers 18h - J'"était bien c'était chouette" 

 

Aujourd'hui je suis triste, on est lundi, la rue est déserte, j'entend encore les rires de vendredi soir résonner, tout était bien, c'était gai, j'avais juste envie de profiter, alors je sourie.

Dans trois semaines, il ré-ouvre ces portes, "Laurette" sera plus là, mais "ça sera bien ça sera chouette "   

Elle nous laisse entre de bonnes mains.

Merci à toi, merci pour tout , tes coups de gueules, tes sourires, ta bonne humeur cachée derrière ta fatigue, nos discutions, ton écoute, ta patience, merci d'avoir était là, de m'avoir écouté, consolé engueulé parfois, je t'aime pour ça.

Bonne route 

Lundi 23 mai 2016

* "Chez  Laurette" - Michel Delpech 

 

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